C’est le surgissement d’un gang de meufs* qui invitent le public (ou pas) à suivre sa cadence. En mélangeant la danse, l’acrobatie et le théâtre physique, le gang crée des présences physiques qui s’imposent et pousse le public à être sur le qui-vive, "le juste-avant d’agir", ce laps de temps où rien ne s’est encore passé alors tout peut encore arriver. "Parade d’intimidation aigre-douce" est une invitation à suer la riposte, avec flamboyance, fragilité et dérision. Une sorte de rage enivrante.